Au début, je ne pensais qu'à une chose : ce que je pouvais faire avec un West. Je me projetais dans un avenir, sur la route, au volant de cette vieille machine, le vent dans les cheveux, revivant les vieux trip de mes parents qui, soit dit en passant, n'ont jamais été des hippies (peut-être ma mère, mais ça c'est une autre histoire).
Je cultivais le rêve de cette liberté sur les routes, n'ayant pas de destination mais seulement un trajet. C'est un vieux mythe très tenace que la liberté sur les routes et je pense qu'il remonte au moment de la construction de la première voiture (ça c'est ma théorie)! Si vous avez écouté des documentaires sur les Split ou encore les Bay, il y a comme un aura magique autour de ces véhicules. Je n'entrerai pas dans les détails, mais vous pouvez vous faire une idée en faisant quelques recherches sur Youtube.
Bref, j'étais rêveur. Mais mon côté pragmatique et planificateur ont pris le dessus. C’est à ce moment que je me suis rendu compte que faire l'achat d'un West n'était pas aussi simple que dans mon rêve et le plus important est que je me suis rendu compte que ces machines ont plus de 30 ans...
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